•• a scary story
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Moi aussi j'ai peur du noir
 
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 Jill Melvoth.

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Jill Melvoth
ღ -- Bébé Trotteur
Jill Melvoth


Messages : 2
Date d'inscription : 28/02/2010

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MessageSujet: Jill Melvoth.   Jill Melvoth. Icon_minitimeDim 28 Fév - 18:48

Jill Melvoth ♥
Le plus difficile, au fond, c'est d'arrêter de jouer la comédie.

Jill Melvoth. Iconashleygreenenr7 Jill Melvoth. Iconashleygreenevio3 Jill Melvoth. Iconashleygreenere7

      carte d'identité.


    NOM : Melvoth.
    PRÉNOMS : Jill, Vanessa, Mary.
    ÂGE : 19 ans en apparence.
    DATE & LIEU DE NAISSANCE : 18 septembre 1897.
    NATIONALITÉ : Franco-britannique.
    LANGUE PARLÉE : Français, anglais, allemand.
    FAMILLE : Bonne question.


      psychologie.


    CARACTÈRE–




































    Jill. Joyeuse et pétillante Jill. Tu regorges de vie et de joie, mon petit pinson. Tu n'es pas naïve pour un sou, malgré cela. Non, tu es d'une rare intelligence, d'une rare finesse. Mais tu crois trop en l'homme. Tu ne devrais pas accorder ainsi ta confiance. L'homme est foncièrement mauvais, ma jolie petite Jill. Si tu lui tends la main, il te prendra le bras. Et le vampire est pire que l'homme. Si tu lui tends la main, il la prendra. Tu le relèveras doucement, il te suivra en souriant. Puis lorsqu'il se retrouvera face à toi, au lieu de t'embrasser, il te volera ton sang. Tout ça parce que tu as été trop confiante en lui.

    Tu es parfois trop optimiste, et c'est parfois agaçant, même si nous savons tous que tu as raison. Tu regorges de vie, il faut toujours que tu fasses quelque chose. Et tu veux toujours que les autres te suivent. Oui, tu as raison, sur bien des points tu as raison. Nous le savons tous, mais nous aimons nous plaindre, nous autres. C'est frustrant de se retrouver face à quelqu'un qui nous montre qu'en tout point nous avons tort de faire ça, qui nous montre que nous sommes stupides.

    La chose que j'aime le plus chez toi, c'est ta franchise et ta mesquinerie. Oui, tu sais appuyer où ça fait mal. Joyeuse mais pas stupide, guillerette mais cynique. Là est le paradoxe qui te rend si douce et si agréable. Tu n'as peur de rien, tu paraît tellement sûre de toi. Après tout, tu te dis : « si je n'essaie pas, je ne saurais jamais », et tu as bien raison.

    Tu es généreuse. Tu es sur cette Terre et tu es contente d'y être. Mais après ce que je t'ai fait, la patience sera la meilleure arme pour reconquérir ton cœur. Je t'ai ébranlée. Depuis, tu es plus méfiante. C'est insoupçonnable, jusqu'à ce que l'on se retrouve face à la barrière qui emprisonne ton cœur. N'aies pas peur, Jill, je reviendrais...
    PHYSIQUE–




























    Tout en toi me faisait frémir. Ton regard qui se faisait si langoureux lorsque tu me regardais. Tes longs cheveux auburn qui me chatouillaient doucement le cou. Ton petit nez, ton petit nez si parfait. Tes lèvres ni trop pulpeuses, ni trop fines, tes lèvres si douces lorsque tu les posais sur moi. Comme j'aimais ces lèvres... Ton petit visage ovale, si parfait. Ta silhouette élancée. Oui, Jill, tu es grande, et tu es mince. Ta si jolie petite poitrine. Tes longues jambes, sous tes longues robes. Tes jolies mains, tes longs doigts, ta paume contre la mienne. Ta peau de pêche, si douce, mon Dieu, si douce.

    J'aimais quand tu t'habillais de tes longues robes de couleurs aussi joyeuses que toi. Quand tu minaudais devant moi, que tu voulais attirer ton attention. Je détestais que toi, aussi belle qu'un ange, tu doives travailler dans les champs. J'aurais fait tout le travail moi-même s'il avait fallu pour que tu n'abîmes pas tes jolies mains. La vérité, Jill, c'est qu'un bouton de rose comme toi n'aurait jamais dû naître aussi pauvre. Tu aurais dû naître dans un palais, ou à la cour. Tu aurais dû naître chez des gens riches. Je suis sûr que, toi, tu ne serais jamais devenue de ces riches vaniteux et désagréables. Tu es trop bien pour ça.

    Jill, je sais que moi aussi, je te faisais frémir.


      passé.


    HISTOIRE–












































































    Tu étais née de parents pauvres et chaque jour tu devais aller travailler aux champs pour nourrir des gens mieux nés que toi. C'était injuste. Au fond, c'était toi qui était mieux nés qu'eux. Ce n'est pas une histoire de naissance, c'est une histoire d'esprit. Mais à l'époque, ce n'était pas comme ça.

    Je me souviens comme si c'était hier de ce jour de la fin 1914. Alors, j'étais au front. Mais un jour, blessé, je me suis retrouvé chez toi, du côté français. Et toi, si bonne, si généreuse, tu m'as recueilli chez toi, même si j'étais allemand. Tu m'as soigné, je me suis reposé chez toi. Et je ne suis plus jamais reparti. La vérité, c'est que lorsque je t'ai vue, je suis instantanément tombé sous le charme. Oh, tu en avais tellement...

    Je suis resté chez toi. Chaque jour, tu allais aux champs et chaque soir, lorsque tu revenais, tu revenais me voir et tu constatais que j'allais mieux de jours en jours, d'heures en heures. Tu restais avec moi toute la soirée, et puis un jour tu as commencé à rester avec moi toute la nuit. Nous mangions ensembles, nous dormions ensemble. Le seul moment où nous étions séparés, c'était quand tu allais au champs. Jusqu'à ce que j'aille mieux et que je vienne avec toi. Alors, nos récoltes servaient à nourrir les régiments. Tout allait bien, chez nous.

    Jusqu'à ce qu'ils nous trouvent. Ils sont arrivés chez toi avec leurs mitraillettes, cette nuit d'orage. Quelle poésie, alors. Le temps était parfait pour cette situation. Nous sommes sortis en courant, dans le noir, au milieu des cris. C'est alors que je n'ai pu résister. J'ai dû te l'avouer. Je me souviens de chacun de nos mots.
    « Jill ! Jill, attends.
    - Non ! Ils vont arriver !
    - Jill, écoute. Je dois te dire quelque chose. Quelque chose que tu sais déjà, je le sens.
    - Non, ils vont... »
    Alors je t'ai secouée, pour que tu m'écoutes. Tu as levé tes yeux vers moi. Tu pleurais. Je m'en voulais. Tu savais ce que je voulais te dire, mais tu voulais éluder ce passage. Tu ne m'aimais sûrement pas comme moi je t'aimais.
    « Jill... Jill, je t'aime...
    - Je sais, m'as-tu répondu en pleurant de plus belle. Je sais.
    - Jill, tu partages mes sentiments, n'est-ce pas ? »
    Tu as détourné le regard. Tu ne m'as pas répondu.
    « Jill ? Jill, je t'en supplie, dis-moi que toi aussi...
    - Mais pourquoi ? Pourquoi fais-tu ça ? Je ne veux pas que cela change...
    - Cela ne changera pas.
    - Si !
    - Jill, dis-moi que tu partages mes sentiments. S'il te plaît. »
    Tu ne m'as pas répondu. Tu as levé les yeux vers moi, tu as plongé ton regard dans le mien. Ce regard me défiait.
    « Ce n'est peut-être pas le cas. » as-tu dit, simplement.

    Alors une rage sourde s'est élevée en moi. Oui, Jill, je te l'ai dit : l'homme est foncièrement mauvais, mais le vampire encore plus. Je me suis approché de toi, vivement. Je t'ai empoignée, et alors, je t'ai mordu. Que ton sang était bon, Jill, qu'il était bon... J'en ai bu juste assez pour que tu deviennes comme moi. Je voulais m'assurer que tu m'attendrais pour l'éternité. Puis je t'ai jeté à terre. Tu étais trop faible pour dire quoi que ce soit. Tu m'as regardé avec un regard suppliant, un regard torturé. Je t'ai lentement caressé les cheveux. Puis je t'ai parlé d'une voix suave.
    « Lorsque tu changeras d'avis, mon amour, je sais que tu sauras où me trouver. Où que je sois, je sais que tu sauras me trouver. »
    Puis je t'ai embrassée sur la joue, je me suis levé et je suis parti. Ce qui s'est passé ensuite, je n'en ai aucune idée.

    N'aies pas peur, ma belle Jill. Je reviendrais...



Retour à la réalité.


    PUF/PSEUDO : Melo.
    POURQUOI T'ES-TU INSCRIT(E) ICI : Le concept me plaisait.
    DES COMMENTAIRES ? Pas fan du design mais j'aime les gens qui y sont et j'aime le concept.
    AS-TU LU LE RÈGLEMENT : Non, comme d'habitude.
    AUTRES CHOSES : Bonjour, je suis Toi. Qui êtes-vous ?
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Elena Gilbert
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MessageSujet: Re: Jill Melvoth.   Jill Melvoth. Icon_minitimeDim 28 Fév - 21:47

    Heey Mélo. I love you
    Je crois bien que tout est bon, tu peux jouer. ^.^
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Jill Melvoth
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MessageSujet: Re: Jill Melvoth.   Jill Melvoth. Icon_minitimeDim 28 Fév - 22:04

    Cool Very Happy
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Elena Gilbert
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MessageSujet: Re: Jill Melvoth.   Jill Melvoth. Icon_minitimeDim 28 Fév - 22:16

    Je déplace =D
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MessageSujet: Re: Jill Melvoth.   Jill Melvoth. Icon_minitime

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